La spécialité s’appuie sur un historique assez ancien dont la création et l’animation d’un IUP Technologies avancées des sciences du vivant (2000-2005), ce qui a permis de tisser des liens avec certains industriels du domaine, en France et à l’étranger.

Pour les étudiants issus de la dernière habilitation (parcours biologie structurale et bioinformatique anciennement Spécialité Architecture et fonction du Vivant ; biologie structurale et bioinformatqiue), les données collectées montrent que 60 à 70% des effectifs intègrent le marché du travail à la sortie du master (de l'insertion professionnelle se répartie pour moitié dans le privé et pour moitié dans le domaine public.

 

Les étudiants sont recrutés sur des postes d'ingénieurs d'études dans divers domaines tout au long du "pipeline" de développement d’un médicament dans des startups ou entreprises du domaine de la biologie ou des biotechnologies.

Les étudiants ayant acquis une formation plus poussée en informatique, sont recrutés en tant que bio-informaticien ou gestionnaire de données (ressources logicielles, informatique).

Ces recrutements montrent que la formation offre, à un public certes limité, des compétences transversales construites sur un socle commun de connaissances mis en place au niveau du M1 et qui permettent une adaptabilité et une diversité de connaissances adaptés aux métiers ciblés.

D'autre part, il est difficile d’ignorer que depuis de nombreuse années les étudiants des filières biologiques n’ont plus les connaissances suffisantes en sciences fondamentales (physique, chimie, mathématiques) pour aborder les problématiques et les défis de la biologie structurale en particulier.

La spécialité maintient un choix essentiel fait depuis de nombreuses années qui consiste à privilégier une formation conséquente en mathématiques et informatique associée à une solide formation en biologie/biophysique et génomique.